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L'insuffisance
rénale
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L'insuffisance rénale
L'insuffisance rénale est une
altération du fonctionnement des deux reins qui ne filtrent
plus correctement le sang. Elle est dite aiguë si le
dysfonctionnement est transitoire, chronique lorsque la
destruction est irréversible, sans possibilité de guérison.
En cas d'insuffisance rénale majeure, la fonction rénale
peut être supplantée par dialyse ou greffe de rein. (Source
INSERM).
Vous pouvez consulter
l'excellent dossier réalisé en collaboration par le Pr
Christian Combe, Université Bordeaux Segalen, Service de
néphrologie transplantation dialyse du Centre Hospitalier
Universitaire de Bordeaux et par l'Unité Inserm 1026 à
l'adresse suivante:
http://www.inserm.fr/thematiques/circulation-metabolisme-nutrition/dossiers-d-information/insuffisance-renale
Vous pouvez également visualiser le reportage publié par les Hôpitaux Universitaires de Genève et consacré aux méthodes de substitution rénale. Les H.U.G. proposent une grande diversité de supports de communication, allant des brochures institutionnelles aux informations très pointues destinées aux patients, en passant par le magazine Pulsations ou encore de nombreuses vidéos de grande qualité.

Si votre état le nécessite, les néphrologues vous conseilleront sur le traitement le mieux adapté à votre cas au cours de votre consultation.
L'hémodialyse
L'hémodialyse est une méthode
d'épuration du sang par la création d'un circuit de
circulation extracorporelle et son passage dans un
dialyseur.
Lorsqu'il existe une
insuffisance rénale sévère, l'organisme se charge
progressivement de substances qu'il convient d'éliminer par
la dialyse.
La dialyse consiste à mettre en contact le sang avec un liquide stérile (le dialysat) dont la composition est proche de celle du plasma (le liquide qui compose 60 % du sang environ) au travers d'une membrane qui sert de filtre. En hémodialyse ce processus se passe à l'extérieur du corps et la membrane est artificielle. A contrario, en dialyse péritonéale, les échanges se passent dans l'abdomen et la membrane est le péritoine. Dans les deux méthodes, les phénomènes physiques mis en jeu sont les mêmes.
La dialyse consiste à mettre en contact le sang avec un liquide stérile (le dialysat) dont la composition est proche de celle du plasma (le liquide qui compose 60 % du sang environ) au travers d'une membrane qui sert de filtre. En hémodialyse ce processus se passe à l'extérieur du corps et la membrane est artificielle. A contrario, en dialyse péritonéale, les échanges se passent dans l'abdomen et la membrane est le péritoine. Dans les deux méthodes, les phénomènes physiques mis en jeu sont les mêmes.
Principes de la dialyse
Les échanges entre le plasma
et le dialysat à travers une membrane sont sous la
dépendance de deux phénomènes physiques différents.
La diffusion
La diffusion règle les échanges
de molécules en solution à travers une membrane
semi-perméable selon le gradient de concentration.
C'est-à-dire qu'une substance donnée va pouvoir aller du
compartiment le plus concentré vers le compartiment le moins
concentré, pour tendre vers l'équilibre des concentrations
de part et d'autre de la membrane. La vitesse des échanges
va dépendre de la différence de concentration mais aussi
d'autres facteurs comme la taille des pores de la membrane,
la charge électrique de la substance et celle de la
membrane, l'encombrement allostérique de la substance à
échanger. Il existe différentes membranes de dialyse qui ont
chacune des caractéristiques différentes.
La convection
Dans laquelle l'eau est
déplacée par le gradient de pression transmembranaire, du
côté où la pression est la plus forte vers le côté ou la
pression est la plus faible. Les facteurs qui influencent
les échanges d'eau sont donc la pression et le coefficient
hydraulique de la membrane (en quelque sorte sa
perméabilité).
Grâce à la combinaison de
ces deux mécanismes, pendant la séance de dialyse on peut
simultanément:
Retirer du sang les substances en excédent :
Par exemple le potassium, qui
est apporté par l'alimentation, en particulier les légumes,
les fruits ou encore l'urée qui est produite par le
métabolisme des protéines.
Ajouter au plasma des substances qui manquent au sujet :
Le calcium qui est souvent
insuffisant ou le bicarbonate qui compense l'acidité du
sang.
Retirer l'eau qui s'est accumulée dans l'organisme (en particulier si le sujet est anurique, c'est-à-dire si ses reins ne produisent plus du tout d'urine).
Les différentes méthodes de dialyse
On peut au cours de la séance
d'hémodialyse privilégier soit la convection, soit la
diffusion, soit combiner les deux en proportion variable. On
définit donc ainsi :
L'hémodialyse :
Au cours de laquelle les
phénomènes de diffusion sont prédominants. Dans ces cas la
quantité de liquide éliminée au cours de la séance est
faible (quelques litres seulement).
L'hémofiltration :
Au cours de laquelle les
phénomènes de convection sont prédominants. Dans ce cas la
quantité de liquide éliminée au cours de la séance peut
dépasser une dizaine de litres. Cela impose de faire une
compensation par perfusion.
L'hémodiafiltration :
Cette technique combine les
deux précédentes.
Le dialyseur
En hémodialyse, la membrane
est une membrane artificielle, synthétique. Elle se présente
sous forme de fibres capillaires, le sang circulant à
l'intérieur de la fibre, le dialysat à l'extérieur (Il n'y a
pas de contact direct entre le sang et le dialysat). Les
fibres capillaires sont réunies dans un dispositif appelé
dialyseur qui comporte donc une entrée et une sortie pour le
sang et une entrée et une sortie pour le dialysat. Au sein
du dialyseur, la circulation du sang et du dialysat se fait
à contre sens, ce qui optimise les échanges. Le dialyseur
est alimenté en permanence en dialysat propre
(habituellement le débit d'alimentation en dialysat est
d'environ 500 ml par minute) et en sang provenant du patient
(avec un débit entre 150 et 500 ml par minute). Le volume de
sang contenu dans le dialyseur, variable selon le modèle,
est d'environ 100 +/- 20 ml. La surface totale du dialyseur
dépend du modèle employé mais varie entre 1 m² et 2,5 m².
Le dialysat
La composition du concentré de
dialysat peut varier en particulier au niveau de la
concentration en potassium qui peut aller de 1 à 3 mmol par
litre et de la concentration en calcium qui peut varier de 1
à 1,75 mmol. Le dialysat concentré est dilué par le
générateur de dialyse et mélangé avec une solution de
bicarbonate obtenue également extemporanément à partir d'une
poudre ou de bicarbonate liquide concentré. Il est donc
possible d'ajuster la teneur en bicarbonate du dialysat et
la teneur en sodium. Au cours d'une séance d'hémodialyse
courante (durée habituelle de quatre heures) il est donc
produit 120 litres de dialysat.
Le générateur d'hémodialyse
Les générateurs d'hémodialyse
sont les machines qui rendent possible la séance de dialyse.
Ce sont des dispositifs complexes et couteux (plus d'une
centaine de millier d'euros) qui assurent simultanément :
La production du dialysat et
son ajustement à la prescription médicale.
La circulation du dialysat à travers le dialyseur.
La circulation du sang dans le circuit extra corporel.
Le maintien de l'ensemble du circuit à la température du corps du patient.
Le contrôle en continu de la composition du dialysat, de la quantité de liquide retirée au patient.
À ces fonctions "basiques" s'ajoutent désormais des modules optionnels qui permettent également de mesurer en continu différents paramètres pour s'assurer de la qualité de la dialyse.
La circulation du dialysat à travers le dialyseur.
La circulation du sang dans le circuit extra corporel.
Le maintien de l'ensemble du circuit à la température du corps du patient.
Le contrôle en continu de la composition du dialysat, de la quantité de liquide retirée au patient.
À ces fonctions "basiques" s'ajoutent désormais des modules optionnels qui permettent également de mesurer en continu différents paramètres pour s'assurer de la qualité de la dialyse.
les différentes modalités d'hémodialyse
En France, l'hémodialyse peut être pratiquée soit:
Dans un centre "lourd" de dialyse :
C'est un établissement (ou un
service dans un centre hospitalier polyvalent) dans lequel
les dialyses se déroulent sous la surveillance permanente de
médecins spécialisés : les néphrologues. La réalisation de
la séance se fait grâce à des infirmières qui prennent en
charge quelques patients chacune. Les traitements sont
relativement coûteux : ils sont donc réservés aux patients
qui ne peuvent accéder aux soins légers.Les centres lourds
sont obligatoirement situé à proximité immédiate ou dans
l'enceinte d'un centre hospitalier.
En autodialyse:
Le centre d'Agde est une unité
d'autodialyse assistée. Les patients doivent être stables
sur le plan clinique et autonomes à la marche. Il leur est
uniquement demandé de se peser, de prendre leur tension et
leur température eux mêmes. Les patients compriment seuls
leur fistule. Le médecin n'est pas présent en continu au
sein de l'UAD.
En dialyse à domicile :
Très développée dans les années
70-80, cette modalité est en perte de vitesse. Elle consiste
à avoir chez soi la machine de dialyse et tout le matériel
et les accessoires pour pouvoir se dialyser seul, bien
souvent avec l'aide d'un membre de sa famille pour le
branchement. C'est une technique particulièrement adaptée en
zone rurale, quand l'éloignement des centres devient
problématique en termes de temps de transport, mais c'est
aussi la méthode de choix pour avoir le maximum d'autonomie
et de liberté. Dans cette modalité, le patient est sous la
responsabilité d'un centre de dialyse qui lui fournit
matériel et assistance. Les néphrologues sont vus au cours
de consultation dans le centre, en cas de besoin ou au moins
une fois par trimestre.
Déroulement d'une séance d'hémodialyse
Les insuffisants rénaux
chroniques en phase terminale traités par hémodialyse
n'urinent plus ou très peu. Ils accumulent donc l'eau qu'ils
ont ingérée par l'alimentation (eau, soupe, café, yaourt,
etc...) et les déchets organiques qui ne sont plus filtrés.
C'est cet excédent d'eau et de déchets qu'on élimine grâce à
l'hémodialyse. Si on ne le fait pas, une partie de cette eau
passe dans la circulation sanguine, augmente la volumie,
augmente la pression (hypertension artérielle) et ce jusqu'à
l'œdème aigu du poumon. Les déchets empoisonnent le sang.
On pèse donc le patient à son
arrivée. On compare son poids d'arrivée et son poids idéal
défini par le médecin après différents examens (une radio du
thorax, une échographie cardiaque, un bilan sanguin) pour
faire la prescription de Perte de Poids Totale. Grâce aux
dispositifs techniques de maîtrise de l'ultrafiltration,
installés sur les machines de dialyse, la filtration sera
effectuée soit de manière continue par perte de poids
horaire constante, soit par filtration selon un profil
prescrit.
Information sur nos instances
La CDU: Commissions des usagers.
La CDU a pour mission de
veiller au respect des droits des usagers et de contribuer à
l'amélioration de la qualité de l'accueil et de la prise en
charge des personnes malades et de leurs proches. Cette
commission facilite les démarches de ces personnes et veille
à ce qu'elles puissent, le cas échéant, exprimer leurs
griefs auprès des responsables de l'établissement, entendre
les explications de ceux-ci et être informées des
possibilités de recours en cas de contestation. La CDU
contribue à la définition de la politique Qualité Sécurité
des Soins de l'établissement. Elle valide le programme
annuel et le bilan découlant de cette politique.
Vous pouvez obtenir les
coordonnées des représentants des usagers de la CDU auprès
de nos secrétariats. Ces coordonnées sont aussi affichées
sur le panneau réservé aux patients des deux centres.
Le CLUD: Comité de lutte contre la douleur
Au sein de l'établissement, le
CLUD définit la politique de prise en charge de la douleur
qui figure dans le projet d'établissement. Il coordonne
toute action visant à mieux organiser la gestion de la
douleur et de son évaluation, et veille à la mise en œuvre
de la politique qui a été déterminée. Une évaluation des
pratiques professionnelles concernant l'évaluation de la
traçabilité et de la prise en charge de la douleur en
dialyse est en cours dans notre établissement.
Il contribue à la formation professionnelle du personnel médical et soignant sur la douleur, et suscite le développement de plans d'amélioration de la qualité pour l'évaluation et le traitement de la douleur. Le CLUD est également responsable de l'information des patients sur ce sujet. L'établissement adhère à l'InterClud Languedoc Roussillon, et collabore avec le CLUD de l'Hôpital St clair.
Il contribue à la formation professionnelle du personnel médical et soignant sur la douleur, et suscite le développement de plans d'amélioration de la qualité pour l'évaluation et le traitement de la douleur. Le CLUD est également responsable de l'information des patients sur ce sujet. L'établissement adhère à l'InterClud Languedoc Roussillon, et collabore avec le CLUD de l'Hôpital St clair.
Le CLIN: Comité de lutte contre les infections nosocomiales.
Le Comité de Lutte contre les
Infections Nosocomiales définit un programme annuel
d'actions pour assurer :
La prévention des infections nosocomiales, notamment par l'élaboration et la mise en œuvre de recommandations de bonnes pratiques d'hygiène,
La surveillance des infections nosocomiales,
La définition d'actions d'information et de formation de l'ensemble des professionnels de l'établissement en matière d'hygiène hospitalière et de lutte contre les infections nosocomiales,
L'évaluation périodique des actions de lutte contre les infections nosocomiales.
De plus, le CLIN prépare, avec l'équipe opérationnelle d'hygiène hospitalière, le programme de lutte contre les infections nosocomiales. Il élabore un rapport annuel d'activité de lutte contre les infections nosocomiales. Ce programme et son bilan sont validés en CME et en CRUQ.
La prévention des infections nosocomiales, notamment par l'élaboration et la mise en œuvre de recommandations de bonnes pratiques d'hygiène,
La surveillance des infections nosocomiales,
La définition d'actions d'information et de formation de l'ensemble des professionnels de l'établissement en matière d'hygiène hospitalière et de lutte contre les infections nosocomiales,
L'évaluation périodique des actions de lutte contre les infections nosocomiales.
De plus, le CLIN prépare, avec l'équipe opérationnelle d'hygiène hospitalière, le programme de lutte contre les infections nosocomiales. Il élabore un rapport annuel d'activité de lutte contre les infections nosocomiales. Ce programme et son bilan sont validés en CME et en CRUQ.
La CME: Conférence médicale d'établissement.
La Conférence Médicale
d'Établissement est l'instance décisionnaire de
l'établissement visant à associer le corps médical à la
gestion de l'établissement.
Elle délibère sur les choix
médicaux, et donne son avis sur la politique générale de
l'établissement, sur le projet médical de l'établissement,
sur le fonctionnement des services non médicaux qui
participent à la qualité des soins, sur le projet des soins
infirmiers, ainsi que sur le bilan social. La CME valide le
projet d'établissement, elle élabore en collaboration avec
la cellule qualité gestion des risques la politique qualité
qui en découle ainsi que son programme annuel et bilan. La
CME valide l'ensemble des protocoles dans le domaine de la
prise en charge du patient.
Elle est également consultée sur les programmes d'investissement, les budgets et les comptes, les aspects techniques et financiers des activités médicales.
Elle est également consultée sur les programmes d'investissement, les budgets et les comptes, les aspects techniques et financiers des activités médicales.
La CQGR: Cellule qualité - Gestion des risques.
Les misions principales de la
cellule qualité - gestion des risques sont :
De réaliser à partir de la politique définie avec la CME, un programme annuel d'action de le suivre et d'en faire un bilan annuel. D'assurer et de suivre la démarche de certification de l'établissement.
De promouvoir et d'accompagner la mise en œuvre du programme d'amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins.
De soutenir les démarches d'évaluations des pratiques professionnelles dans tous les domaines d'activité de l'établissement soignantes, logistiques, pharmaceutiques et administratives.
De mettre en œuvre la gestion des risques associés aux soins à priori et à postériori ainsi que la gestion des risques professionnels.
De suivre la mise en œuvre des actions d'amélioration mise en place suite à l'analyse des déclarations d'évènements indésirables. D'assurer et de suivre la démarche de certification de l'établissement
Afin de garantir une sécurité maximale pour les patients et le personnel, l'ensemble des risques inhérents au fonctionnement de l'établissement fait l'objet d'un suivi particulier.
La CQGR centralise ceux-ci dans le cadre d'une politique générale de gestion des risques et de démarche d'amélioration de la qualité.
De réaliser à partir de la politique définie avec la CME, un programme annuel d'action de le suivre et d'en faire un bilan annuel. D'assurer et de suivre la démarche de certification de l'établissement.
De promouvoir et d'accompagner la mise en œuvre du programme d'amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins.
De soutenir les démarches d'évaluations des pratiques professionnelles dans tous les domaines d'activité de l'établissement soignantes, logistiques, pharmaceutiques et administratives.
De mettre en œuvre la gestion des risques associés aux soins à priori et à postériori ainsi que la gestion des risques professionnels.
De suivre la mise en œuvre des actions d'amélioration mise en place suite à l'analyse des déclarations d'évènements indésirables. D'assurer et de suivre la démarche de certification de l'établissement
Afin de garantir une sécurité maximale pour les patients et le personnel, l'ensemble des risques inhérents au fonctionnement de l'établissement fait l'objet d'un suivi particulier.
La CQGR centralise ceux-ci dans le cadre d'une politique générale de gestion des risques et de démarche d'amélioration de la qualité.
Le CSTH: Comité sécurité transfusionnelle et d'hémovigilance.
Conformément aux Articles
R1221-31 et suivants du Code de la Santé Publique, le
comité de sécurité transfusionnelle et d'hémovigilance a
pour mission de contribuer par ses études et ses
propositions à l'amélioration de la sécurité des patients
qui sont transfusés dans l'établissement. Il veille à la
mise en oeuvre des règles et procédures d'hémovigilance
prévues par la présente section.
Il est notamment chargé de la coordination des actions d'hémovigilance entreprises au sein de l'établissement. Il s'assure auprès des services responsables de la présence dans le dossier médical mentionné des documents relatifs aux actes transfusionnels et, le cas échéant, de la copie de la fiche d'incident transfusionnel. Il est saisi de toute question relative à la collaboration des correspondants d'hémovigilance de l'établissement de transfusion sanguine et de l'établissement, et plus généralement de toute question portant sur les circuits de transmission des informations, en vue d'améliorer l'efficacité de l'hémovigilance. Il se tient informé des conditions de fonctionnement des dépôts de sang. Il est averti des incidents transfusionnels inattendus ou indésirables et conçoit toute mesure destinée à y remédier.
Il est notamment chargé de la coordination des actions d'hémovigilance entreprises au sein de l'établissement. Il s'assure auprès des services responsables de la présence dans le dossier médical mentionné des documents relatifs aux actes transfusionnels et, le cas échéant, de la copie de la fiche d'incident transfusionnel. Il est saisi de toute question relative à la collaboration des correspondants d'hémovigilance de l'établissement de transfusion sanguine et de l'établissement, et plus généralement de toute question portant sur les circuits de transmission des informations, en vue d'améliorer l'efficacité de l'hémovigilance. Il se tient informé des conditions de fonctionnement des dépôts de sang. Il est averti des incidents transfusionnels inattendus ou indésirables et conçoit toute mesure destinée à y remédier.
Le COMEDIMS: Comité du médicament et des dispositifs médicaux stériles.
Ce comité, sous-commission de
la CME, participe, en concertation avec les professionnels
de santé, à la définition de la politique du médicament et
des dispositifs médicaux stériles à l'intérieur de
l'établissement.
Elle est chargée de l'élaboration des livrets du médicament et des dispositifs médicaux stériles qui dressent la liste des produits pharmaceutiques disponibles au sein de l'établissement.
Elle diffuse également des recommandations en matière de bon usage des médicaments et dispositifs médicaux stériles et de lutte contre la iatrogénie médicamenteuse.
Ce comité coordonne la gestion des risques liée à la prise en charge médicamenteuse du patient en cohérence avec la politique globale de gestion des risques de l'établissement.
Il contribue avec le pharmacien au suivi du contrat de bon usage signé avec l'ARS.
Elle est chargée de l'élaboration des livrets du médicament et des dispositifs médicaux stériles qui dressent la liste des produits pharmaceutiques disponibles au sein de l'établissement.
Elle diffuse également des recommandations en matière de bon usage des médicaments et dispositifs médicaux stériles et de lutte contre la iatrogénie médicamenteuse.
Ce comité coordonne la gestion des risques liée à la prise en charge médicamenteuse du patient en cohérence avec la politique globale de gestion des risques de l'établissement.
Il contribue avec le pharmacien au suivi du contrat de bon usage signé avec l'ARS.
Le DIM: Département d'information médicale.
Le Département de l'Information
Médicale (DIM) gère l'information de santé des patients, y
compris les données personnelles. A ce titre, il assure le
respect des règles de confidentialité, sous l'autorité du
Directeur du Centre et du Président de la Commission
Médicale d'Etablissement (CME), et le codage de
l'information médicale (l'organisation du codage, le
traitement, la conservation des données et l'interprétation
des résultats).
Ses missions:
L'activité du Département
d'Information Médicale se décline selon plusieurs axes :
Il organise le recueil, la circulation et le traitement des données médicales sous l'autorité d'un médecin notamment dans le cadre du Programme de Médicalisation des Systèmes d'Information (PMSI) participant ainsi à la valorisation de l'activité de soins, base de la tarification à l'activité de l'hôpital.
Il participe ensuite au suivi épidémiologique des patients. Les données médicales recueillies sont protégées par le secret professionnel et le DIM participe à la qualité et à l'intégrité du dossier du patient.
Il joue un rôle actif dans la mise en place du Système d'Information de Santé centré sur le patient.
Il traite et analyse les données au moyen d'outils statistiques et produit le rapport d'activité du Centre
Il organise le recueil, la circulation et le traitement des données médicales sous l'autorité d'un médecin notamment dans le cadre du Programme de Médicalisation des Systèmes d'Information (PMSI) participant ainsi à la valorisation de l'activité de soins, base de la tarification à l'activité de l'hôpital.
Il participe ensuite au suivi épidémiologique des patients. Les données médicales recueillies sont protégées par le secret professionnel et le DIM participe à la qualité et à l'intégrité du dossier du patient.
Il joue un rôle actif dans la mise en place du Système d'Information de Santé centré sur le patient.
Il traite et analyse les données au moyen d'outils statistiques et produit le rapport d'activité du Centre
Comité pour le développement durable
Notre établissement a adhéré en
2012 au 
Le C2ds, comité pour le Développement Durable en Santé – est une association à but non lucratif, créée en 2006, de professionnels de santé mobilisés par le développement durable.
L'objectif du C2DS est de sensibiliser les acteurs de la santé aux avantages des bonnes pratiques du développement durable afin de mieux maîtriser l'impact humain, environnemental et économique de leur activité. Nous sommes engagés dans cette démarche afin de mettre les pratiques du développement durable au service d'une meilleure santé. Le programme pluriannuel de développement durable de l'établissement est suivi dans le cadre du comité de direction.

Le C2ds, comité pour le Développement Durable en Santé – est une association à but non lucratif, créée en 2006, de professionnels de santé mobilisés par le développement durable.
L'objectif du C2DS est de sensibiliser les acteurs de la santé aux avantages des bonnes pratiques du développement durable afin de mieux maîtriser l'impact humain, environnemental et économique de leur activité. Nous sommes engagés dans cette démarche afin de mettre les pratiques du développement durable au service d'une meilleure santé. Le programme pluriannuel de développement durable de l'établissement est suivi dans le cadre du comité de direction.
Nos actions
Dans le cadre de l‘engagement
de NDSG dans une démarche de développement durable,
l’établissement se mobilise au profit d’associations
caritatives en collectant des objets du quotidien. Nous vous
proposons de profiter de ces actions en vous associant à
notre démarche.
Vous trouverez des points de
collecte situés dans les halls d’accueil du rez-de-chaussée
et du 1er étage au Centre de Dialyse de SETE et dans le SAS
d’entrée de l’Unité d’Autodialyse d’AGDE pour :
La récupération des bouchons
en plastique destinée à l’association « LES
BOUCHONS D’AMOUR » parrainée par Jean-Marie BIGARD.
Cette collecte permet d’acheter du matériel pour sportifs
handicapés, d’améliorer les conditions de vie des personnes
souffrant d’un handicap, d’aider des opérations humanitaires
de façon ponctuelle.
L’écriture : vos stylos
usagés peuvent encore écrire une belle histoire...
Ne les jetez plus, nous les récupérons et ils seront recyclés. Ils sont alors transformés en € au profit de la recherche sur les neurofibromatoses.
Ne les jetez plus, nous les récupérons et ils seront recyclés. Ils sont alors transformés en € au profit de la recherche sur les neurofibromatoses.
Les bouchons en liège :
Ils sont revendus par les centres de collecte aux
bouchonniers français. L’argent récolté permettra de
financer des actions humanitaires, caritatives ou en faveur
du développement durable comme la plantation de chênes-liège
dans le Sud de la France par l’Institut
Méditerranéen du Liège.
Les piles alcalines et
salines – 1 Pile = 1 Don, de l’énergie pour le
Téléthon ! Toutes les piles usagées collectées seront
recyclées au profit de l’AFM-Téléthon selon le principe 1
tonne de piles collectée = 250 euros versés à l’AFM-Téléthon.
Nous nous mobilisons au
profit de la
ligue contre le cancer en collectant les
radiographies réformées, les cartouches d'encre usagées et
les téléphones mobiles inutilisables de l'établissement,
du personnel et des patients qui acceptent de nous les
déposer. Ces déchets sont recyclés et valorisés par des
personnes en situation de handicap physique. Ils sont
ensuite revendus et l'argent récolté participe au
financement de la recherche sur le cancer et à l'aide aux
malades.
VOUS AUSSI, SOUTENEZ CES ACTIONS ECO-CITOYENNE ET SOLIDAIRE !
Nous vous remercions par avance de votre participation.
Mission mains propres

En 2013, le ministère chargé de la santé renouvelle son engagement auprès de l'OMS, qui encourage particulièrement cette année l'implication des patients dans de meilleures pratiques d'hygiène des mains.
Celles-ci sont un élément clé de la lutte contre les infections associées aux soins et la transmission d'agents pathogènes : de 20 à 40% de ces infections sont en effet manu-portées.
Le succès de la mission mains propres 2013, qui s'est tenue le 6 mai, témoigne d'un engagement massif sur le sujet : plus de 168 pays ont participé à l'événement et près de 15 800 professionnels ont déjà marqué leur engagement.
La France reste le 1er pays contributeur à cette journée mondiale avec près de 2 700 structures de santé engagés et des centaines actions de sensibilisation menées sur tout le territoire. Afin d'accompagner tous les acteurs mobilisés, le ministère chargé de la santé contribue à diffuser des bonnes pratiques de professionnels et a mis à leur disposition, comme tous les ans, des outils de communication. Au total, plus de 40 000 affiches et de 500 000 documents de prévention auront été commandés via le site du ministère.
Interlocuteurs incontournables, les centres de coordination de lutte contre les infections nosocomiales (CCLIN) se sont pleinement mobilisés dans la mise en place de l'opération 2013 et ont largement accompagné la diffusion des messages de prévention autour des risques associés aux soins.
La mission mains propres s'inscrit dorénavant dans le cadre du programme national 2013-17 de sécurité des patients, lancé en février dernier par Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, qui fédère l'action des pouvoirs publics autour de 4 priorités dans le domaine de la sécurité des patients.
De même, le ministère chargé de la santé poursuivra résolument son action dans ce domaine avec l'organisation de la 3ème édition de la semaine de la sécurité des patients du 25 au 29 novembre prochains.
Sondage: Que savez-vous sur l'hygiène des mains lors des soins?
Nos indicateurs
Le site d'information des usagers de la HAS:
La loi de financement de la
sécurité sociale 2012 (Art 161-37 – 21/11/2011) a confié à
la HAS la mission de « coordonner l'élaboration
et assurer la diffusion d'une information adaptée
sur la qualité des prises en charge dans les
établissements de santé, à destination des usagers et de
leurs représentants ».
Plusieurs facteurs ont conduit
le législateur à demander à la HAS de conduire cette mission
:
elle est une autorité indépendante et scientifique qui a la capacité de garantir au public objectivité et rigueur méthodologique ;
elle promeut les démarches d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé notamment via la certification des établissements depuis 1999 (elle prépare la 4ème version de la certification)en tant qu'opérateur de la généralisation des indicateurs qualité et sécurité des soins dans les établissements de santé
elle est un acteur historique de la transparence de l'information sur la qualité du système de santé : elle rend publics les résultats de certification et des indicateurs.
elle est une autorité indépendante et scientifique qui a la capacité de garantir au public objectivité et rigueur méthodologique ;
elle promeut les démarches d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé notamment via la certification des établissements depuis 1999 (elle prépare la 4ème version de la certification)en tant qu'opérateur de la généralisation des indicateurs qualité et sécurité des soins dans les établissements de santé
elle est un acteur historique de la transparence de l'information sur la qualité du système de santé : elle rend publics les résultats de certification et des indicateurs.
La première étape
opérationnelle de cette mission est la création, en
partenariat avec le Ministère des affaires sociales et de la
santé et en collaboration avec l'Agence Technique
d'Information Hospitalière, du site
Scope santé, dédié à l'information des usagers sur
la qualité des prises en charge dans les établissements de
santé.
Usagers, votre santé, vos droits
Le ministère de la Santé
publie avec le Défenseur des droits un guide trés complet
destiné à informer et orienter les usager sur l'accès aux
soins.Il est composé de 26
fiches pratiques réparties entre six thématiques qui
aborde les grands domaines de la prise en charge sanitaire :
l'accès aux soins, le patient acteur de sa santé,
l'information sur la qualité des soins, l'information sur la
fin de vie, la valorisation des droits et des annexes
détaillées. Vous pouvez cliquez sur l'image au dessus pour
accéder à ce guide.
Nos engagements
Documents internes
Dossiers de pré-admission
Nouveau patient résident :



Patient transferé d'un autre centre:




